• Samuel Paty : Revenir à la raison et à l'universel

    Pour toute Nation normalement constituée, le meurtre contre un enseignant est un signe d'une société altérée, profondément malade. Un signe malheureusement d'échec collectif : pouvoirs administratifs, représentants politiques, en passant par les grands groupes numériques (Facebook, Twitter, Instagram...) qui, tous, n'ont pas encore réussi à résorber les problématiques du terrorisme poussant les (très) jeunes à passer à l'innommable.

    Aucune religion n'est coupable. Le fanatisme qui ose se dire fils de la religion en est plutôt complètement déconnecté, à tel point que nous rendrons service à la liberté de croire ou de ne pas croire ainsi qu'à la liberté d'expression ou d'opinion par le combat permanent contre l'extrémisme (pas seulement religieux), que ce soit sur le terrain comme sur Internet. C'est dans ce combat que nous protégerons en particulier les croyants et les enseignants.

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  • Il n’y aura aucune autre crise que le coronavirus pour se rendre compte de l’ampleur du travail mené par les médecins, les chirurgiens, les infirmiers, les aides-soignants, les étudiants en médecine, les bénévoles de santé, les pompiers, les policiers, les psychologues, les psychothérapeutes, les travailleurs sociaux, le personnel de maisons de retraite, les assistants maternels, etc.

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  • La libération de la parole des femmes est salutaire dans un monde qui a tendance à les déconsidérer. Les propos sexistes, les violences conjugales, les agressions, les différents types d'harcèlement et les féminicides malheureusement sont des enjeux de société qui ne peuvent plus et ne doivent plus être passées sous silence ou ostensiblement ignorées par les pouvoirs publics. Cela concerne les hommes comme les femmes ; les riches comme les pauvres ; les Européens comme les Africains ; les adultes comme les mineurs, etc.

     

    Nous avons la responsabilité morale de condamner unanimement ces faits.

     

    La lutte féministe est permanente, elle a toute sa place dans le débat public et les décisions institutionnelles, et je dirais que c'est une lutte contre toute sorte de discrimination et d'inégalité sociale ou économique entre les hommes et les femmes censés se compléter dans n'importe quel domaine (travail, vie privée, vie sociale...)

    Réflexion sur le danger du féminisme en ligne

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    Les Gilets Jaunes révèlent parfaitement le cri d'une époque, une insurrection des consciences, le malaise profond d'une société française faisant face à une bureaucratie élitiste, en manque d'empathie et de gestes forts, et qui brise le quotidien de milliers de Français qui, eux, ne savent plus quoi faire, ni par quoi passer pour se faire entendre. Dans une marée de normes, de charges et de règlements, l'épanouissement et l'harmonie sociale deviennent quasiment impossibles. La colère est donc légitime et même nécessaire pour faire avancer le progrès humain. Les revendications nationales sont inévitables quand des gouvernements successifs n'ont pas été en mesure d'écouter et d'entendre suffisamment puis agir véritablement sur les maux de notre époque, si ce n'est davantage conforté un système inégalitaire en plus de la complexité des institutions.

    Nous vivons ainsi dans une époque historique où la violence et la haine n'ont jamais été aussi présentes dans une société déjà fragmentée par les inégalités sociales, économiques, fiscales et territoriales.

    C'est très caractéristique de l'Histoire des mouvements sociaux en France. On peut citer :
    _  Mai 1968 avec une fracture sociétale et générationnelle profonde entre un pouvoir étatique d'après-guerre se révélant défaillant et la jeunesse accompagnée de la classe moyenne-populaire ayant besoin d'un souffle, d'une autonomie et d'une indépendance.

    _  Les « grandes grèves » de 1995 qui ont confronté les travailleurs avec le pouvoir pendant plusieurs mois à cause de réformes structurelles (services publics, assurance maladie, retraites, régimes spéciaux) jugées technocratiques et hors des préoccupations; ces mouvement ont paralysé tout le pays aussi.

    _  Je peux également prendre les manifestations étudiantes de 2006 contre le Contrat Première Embauche ou les grèves de 2010 sur les retraites

    Tout ces exemples pour démontrer que les mouvements sociaux - petits ou grands - peuvent paralyser l'activité économique et sociale en accentuant davantage la fracture et le divorce entre le pouvoir et le peuple. La crise des Gilets Jaunes est un mouvement qui marquera durablement la société puisqu'elle transporte, en elle, des failles de notre système presque à bout de souffle. Aujourd'hui, nous comptabilisons plus de 19 semaines de mobilisations émaillées de violences et de rancœurs et nous avons rarement vu ça dans notre histoire contemporaine !

    Nous avons d'un côté, un peuple vivant dans la souffrance et qui demandent à être entendu et surtout à agir en profondeur sur des sujets capitaux : raz-le-bol fiscal, inégalités économiques, pouvoir d'achat, situation critique du travail et de l'emploi, justice sociale, missions régaliennes et administratives de l'État, réchauffement climatique, libertés fondamentales, éducation et enseignement supérieur, retraites, etc.

    Ces hommes et ses femmes - de toute horizon - qui luttent toute leur vie, non pas pour vivre mais survivre, ont le sentiment d'être rejetés et relégués à des citoyens esclaves d'une société d'argent, de taxes et de surconsommation.

    J'insisterais sur le fait qu'il ne faut pas tout attendre de nos dirigeants politiques et de l'État au risque d'être déçu et choqué par la violence symbolique (pouvoir des dominants sur les dominés) que nous inflige également les médias dans un sensationnalisme éblouissant, en diffusant souvent la parole dominante qui fait fi de l'opinion de 90% de la population.

    À savoir que malgré la violence et les caillassages honteux que nous pouvons voir tous les samedis, les préoccupations des Gilets Jaunes sont encore massivement soutenues (plus de 70%), pas le mouvement lui-même, nuance donc.

    Je pense que chacun peut être maître du changement qu'il fusse petit, grand ou profond. Tous le monde doit faire des efforts. Nous sommes dans un pays qui nous offre des opportunités de croissance  et se plaindre - alors que nous vivons dans un endroit sûr, en sécurité par rapport à beaucoup d'autres pays, un lieu où le système éducatif et de la santé nous est offert (bien qu'inégalitaire également) - est totalement contre-productif.

    "Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister."

    Un peuple embourbé dans la morosité, aucunement rassemblé, ni uni, ne pourra jamais coexister, co-construire, collaborer dans tous les domaines de la vie.

    Un peuple qui fait de l'étranger, du croyant, du fonctionnaire ou du chef d'entreprise un bouc-émissaire, quelque soit le contexte ou les compréhensibles interrogations qu'on peut se poser, est un pays prostré et renfermé sur ses ténèbres et qui est digne de ne jamais connaître l'optimisme et la croissance. Ceux qui estiment que la violence et l'intolérance sont la solution aux problèmes ne méritent ni parole, ni reconnaissance mais ferme condamnation. La colère peut être compréhensible, mais pas la violence, que celle-ci émane des autorités publiques ou des manifestants dans le cas de la crise actuelle.

    En revanche, un peuple - quel que soit la classe sociale, la race ou la religion sur divers sujets – qui se remet en question et qui se dresse malgré tout pour son avenir est un pays qui atteint des choses hautement désirées.

    Mais, en étant tout à fait objectif et juste dans l'analyse, nous pouvons aussi dire que les dirigeants français et européens actuels ne prennent pas la mesure du chaos qui s'annonce encore dans les années à venir. Chez eux, la part de responsabilité est non négligeable.

    En effet, nous avons de l'autre côté un système élitiste qui n'a pas compris les réalités et les enjeux immenses que constituaient notre pays, si ce n'est se rapprocher des "relégués" seulement en période électorale (bien que justifié mais aussi révélateur d'intérêts purement politiques).

    Gilets Jaunes : Analyse et solutions

    Ce qui agace nos concitoyens :
    _ La demande des efforts aux contribuables sans savoir où va l'argent public
    _ Des réformes et/ou des lois censées dynamiser notre économie et nos finances publiques dont on ne voit pas les effets sur notre vie quotidienne
    _ Un chômage de masse avec un écart croissant des inégalités
    _ Une dette qui devient impossible à rembourser et qui conduit à une baisse des recettes publiques

    _ Les exigences de la commission européenne de plus en plus lourdes et pressantes

    Nous pouvons ajouter des privilèges accordés aux représentants de la Nation qui ne remplissent pas suffisamment leurs rôles, ou encore une arène politique qui devient une arène romanesque, ce qui fosse davantage le dialogue et la paix sociale au sein du pays. Et malgré une Constitution d'après-guerre, censée remettre de l'ordre dans notre démocratie, elle se révèle aujourd'hui anachronique et de plus en plus lointaine des préoccupations. Le libéralisme économique, l'individualisme ou le conformisme ont bel et bien pris le dessus sur les aspects humains et sociétales que se doit de nous conférer nos institutions.

    En plus d'une technocratie bien ancrée, il y a la primauté des instances européennes par rapport à la Constitution depuis la fin des années 90, qui crée un libéralisme inégalitaire et destructeur par différents traités : Maastricht (1992) et Lisbonne (2008), considérés de plus en plus obsolètes et rigides avec la règle d'or budgétaire qui se base sur peu de choses véritables et n'étant que rarement respecté et atteignable. L'idée n'est pas de remettre en cause l'Europe ou d'en sortir, c'est une chance que de vivre dans un tel continent, mais il s'agit de pointer les dysfonctionnements de ses institutions qui ne touchent pas réellement en profondeur les plus de 500 millions d'habitants qui la constituent.

    Les inégalités (évasion fiscale, comptes offshores, optimisation en haut de l'échelle contre la violence de la précarité en bas) ainsi que le délitement des idéologies (progressisme, libéralisme, social-démocratie, extrémisme, éco-socialisme) n'ont jamais été aussi marqués pour un continent prônant la paix, la liberté, l'égalité, la justice et les droits de l'Homme. Aujourd'hui, avec les élections européennes, on peut se poser la question de l'efficacité réelle du parlement européen dans la vie des Européens si ce n'est débattre et voter des normes et des règlements qui s'ajoutent dans une longue liste complexe et inutile.

    La présidence Macron est, je pense, révélateur de la déconnexion profonde d'une élite « savante » (à défaut d'amateurisme) contre un peuple qui demande à être entendu et à être acteur du changement. Le manque d'empathie caractérisé par un comportement irresponsable venant de l'exécutif est ce qui tuera notre démocratie. Ce n'est pas en répondant par des petites phrases assassines et par de l'extrême "fermeté" (l'armée dans une manifestation, qui l'aurait cru en France?) que l'on calmera une souffrance généralisée. En répondant par de l'autoritarisme, ce sera le meilleur moyen de ramener les ténèbres de l'égoïsme destructeur, comme ce fut exactement le cas au Brésil, aux États-Unis, en Allemagne ou en Italie par le raz-le-bol général de l’Establishment. Les répercussions d'une mauvaise politique teintée d'inefficacité et surtout d'immaturité politique ne font qu'aggraver le climat de guerre civile que beaucoup d'observateurs dans le monde n'hésitent plus à évoquer pour la France. Ce qui se passe depuis plusieurs mois est insurrectionnel ce qui donne lieu à une résurrection du populisme et de la démagogie venant de l'extrême-droite et même de l'ultra-droite qui remontent dangereusement dans les sondages.

    L'idée du grand débat lancé par le président de la République est une idée qui ne résoudra pas le bourbier actuel même si cela fait participer les gens à la vie de cité. Nous savons tous pertinemment que le gouvernement continuera à garder un cap  toujours aussi libéral en tenant seulement compte des doléances qui feront avancer sa politique déjà massivement rejetée.

    ***

    Il s'agit d'une analyse plutôt sombre mais la vérité et l'objectivité doivent être de mise dans pareille situation.

    Il faut maintenant dégager des solutions et cela passe par 2 axes qui me semblent primordiaux pour corriger les tensions sociétales et les préoccupations éclectiques des Gilets Jaunes :

    1) La redistribution des richesses (axe le plus important) :

    _ Créer un système d'imposition composé d'une dizaine branches afin que tous les actifs occupés (étudiants, chômeurs et retraités ne sont pas concernés) puissent payer des impôts selon leurs moyens (même à l'euro symbolique) et participer à la croissance économique du pays en redistribuant aux plus démunis. Pour les plus fortunés, il s'agira de créer un impôt qui servira au développement des petites et moyennes entreprises qui eux créent au moins 70% de la richesse du pays et non plus un impôt sur la fortune sans contrepartie. Pour combler l'impôt généralisé, ce qui est aussi nécessaire est l'allègement voire la suppression de charges sociales et de taxes dénuées de sens pour libérer les entreprises, les commerces et les contribuables de la complexité administrative et fiscale qui brise les initiatives et l'envie de contribuer à la vie économique du pays. Donc l'idée n'est que de payer des impôts et en même temps instaurer une taxe sur la valeur ajoutée à taux zéro sur l'ensemble des produits de premières nécessités.

    _ S'attaquer à la gabegie de l'argent public.  Cela passe par: une baisse conséquente des effectifs dans les cabinets ministériels et parlementaires, une réduction drastique des avantages et autres privilèges en nature et d'un meilleur contrôle de l'utilisation des deniers publics dans les collectivités territoriales. S'il s'avère qu'il y ait des abus dans nos institutions et que les représentants de la Nation ne respecte pas les objectifs et les efforts fixés, l'État sanctionnera.

    Avec l'argent récolté (qui peuvent atteindre des milliards d'euros d'économies), l'État aura de quoi mieux assurer la redistribution, développer et améliorer les infrastructures et les services publics, et enfin relancer la consommation. Celle-ci augmentera la production et le niveau d'emploi. Le résultat final c'est la croissance et un meilleur contrôle de nos finances publiques sans oublier l'assainissement de la dette.

    2) La réforme des institutions nationales et européennes :

    Si on veut rapprocher les citoyens des décisions politiques nous devons passer par des codes moraux d'envergure :

    _  Nous devons alléger nos Constitutions et laisser place au pouvoir dans les collectivités locales (surtout en milieu rural) en faisant participer directement les citoyens aux décisions.

    • Nous devons alléger notre Constitution en supprimant rigoureusement et objectivement des textes législatifs hors d'usage et qui ne répondent plus aux préoccupations actuelles. Cela serait fait par des constitutionnalistes et un ensemble d'experts ou de spécialistes des questions sociétales.
    • Nous devons aller plus loin sur la réforme de la décentralisation de 1982 et de la déconcentration de 2004 qui ont donné plus de pouvoir aux collectivités locales, plus proches des besoins de la population. Par exemple, accroître le pouvoir des conseils municipaux et régionaux surtout en milieu rural en introduisant les doléances des citoyens. La démocratisation des budgets participatifs (comme c'est déjà le cas dans les grandes villes) seraient un excellent moyen de faire avancer une collectivité locale.

     

    _  Le pouvoir des lobbys dans les assemblées formellement contrôlé voire interdit : cela mène à des conflits d'intérêts masqués et à un manque de transparence et d'honnêteté quant à la votation des lois et l'application des réformes. S'attaquer aux lobbys est légitime quand on voit la défiance grandissante des citoyens par rapport à leurs élus

     

    Obliger les parlementaires à être présent à des séances plénières pour faire vivre la démocratie sous peine de fortes sanctions, sauf en cas de force majeur et imprévisible, en plus de baisser significativement les rémunérations et les avantages accordés dans le but de connecter le train de vie des élites à la vie réelle. Nous avons vu en 2017 avec certaines affaires d'emplois fictifs que certains responsables politiques abusaient parfois de leur rôle en s'octroyant les deniers publics. On ne peut plus dire aux Français de faire des efforts ou faire preuve de démagogie quand on ne respecte pas nous-mêmes les lois. De plus, il faut s'attaquer au cumul des mandats: un élu de la République se doit de respecter une seule parole et se concentrer sur une seule collectivité.

     

    Fusionner le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental (CESE) pour que les citoyens volontaires et tirés au sort chaque année puissent participer aux décisions législatives et siéger. Cette fusion serait exclusivement liée à deux sujets majeurs : la justice sociale et le dérèglement climatique. Quant à l'Assemblée nationale, elle garderait son rôle sur des sujets tout aussi capitaux comme les pouvoirs régaliens ou encore l'international.

     

    _   L’ Europe doit lutter contre un libéralisme destructeur :

    • La règle d'or budgétaire étant inatteignable pour beaucoup de pays européens, celle-ci doit être fixé à 5% et non plus à la limite des 3% de déficits dépassés. C'est un objectif trop contraignant et trop complexe dont des millions d'Européens peinent à saisir l'objectif d'une règle illégitime. Un État européen qui se voit infliger des sanctions pécuniaires car il ne respecte pas cet objectif est profondément injuste et injustifiable.
    • Les traités de Maastricht et surtout de Lisbonne doivent être renégociés, par rapport à la maîtrise du budget des administrations / États et à la remise en cause d'un remboursement de la dette qui est objectivement impossible à rembourser. Ces traités décroissent considérablement la souveraineté des États au profit d'une structuration des institutions européennes pour renforcer la monnaie unique et donc le libéralisme économique sans le progressisme qui tend vers l'humain et le social; les dirigeants européens gagneraient à observer la tendance qui tourne à la faveur des extrêmes... N'ont-ils pas compris qu'en 2005, la Constitution européenne a été massivement rejetés ? 
    • Le rôle du Parlement européen doit être revu. La commission européenne fait obstacle aux prises de décisions des parlementaires, là aussi influencés par des lobbys qu'il faudrait interdire.
    • L'Europe, pour harmoniser ses traités, doit impérativement lutter contre l'évasion fiscale qui n'est en aucun cas de l'optimisation fiscale ! Le continent a un arsenal juridique solide pour lutter contre des organisations qui ne respectent pas leurs devoirs à l'imposition. C'est non seulement de l'irrespect contre le fisc et les textes juridiques (DDHC, Constitution, Code de l'impôt..) mais aussi contre les clients et consommateurs qui font marcher l'économie des États européens.

     

    Méditons sur le cas du BREXIT. Si nous voulons savoir pourquoi la Grande-Bretagne a décidé de quitter l'Europe c'est bien à cause des problématiques évoquées plus haut, à savoir la perte de souveraineté, sans doute à cause d'une technocratie obsédée par sa vision de surpuissance (traités), et d'un manque de confiance flagrant des élites politiques et financiers au niveau national. Je crains donc une montée en puissance de l'extrémisme et de la démagogie en plus d'une réduction de libertés publiques.

    En libérant les initiatives et en supprimant un ensemble de comportements irresponsables ainsi que de normes et de règlements dénués de crédibilité et qui ne font que fausser la réalité du terrain, la démocratie participative s'avère plus que jamais urgente.

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